Título : |
Physique : roman |
Tipo de documento : |
texto impreso |
Autores : |
Jean-Marc Parisis (1962-....), Autor |
Editorial : |
Paris : Librairie Générale Française |
Fecha de publicación : |
2006 |
Colección : |
Le Livre de poche, ISSN 0248-3653 núm. 30630 |
Número de páginas : |
187 p. |
Il. : |
couv. ill. |
Dimensiones : |
18 cm |
ISBN/ISSN/DL : |
2-253-11482-0 |
Idioma : |
Francés (fre) |
Clasificación: |
843 Fiction |
Resumen : |
C'était moi et ce n'était pas moi, c'était moi à vingt-cinq ans.Je me trompais rarement sur les âges. En une courte nuit, en deux heures de sommeil, mon corps avait rajeuni de quinze ans. Qu'ajouter ? Tous les miroirs, toutes les balances diraient la même vérité. Il n'y avait rien derrière la vérité. En ce qui me concernait, elle était irrecevable, incroyable, mais elle ne me faisait pas peur. Rien ne me faisait peur. J'embrassais les femmes comme j'embrassais la réalité, je m'attendais à tout.Si je vivais, c'était de m'attendre à tout. Ce qui m'arrivait était violent, non douloureux. Je me sentais même très bien. Mais changé ainsi et à ce point, à six heures du matin, dans ma salle de bains, je devenais dangereux pour la raison des autres. Ma femme et ma fille ne méritaient pas ça. |
Physique : roman [texto impreso] / Jean-Marc Parisis (1962-....), Autor . - Paris : Librairie Générale Française, 2006 . - 187 p. : couv. ill. ; 18 cm. - ( Le Livre de poche, ISSN 0248-3653; 30630) . ISBN : 2-253-11482-0 Idioma : Francés ( fre)
Clasificación: |
843 Fiction |
Resumen : |
C'était moi et ce n'était pas moi, c'était moi à vingt-cinq ans.Je me trompais rarement sur les âges. En une courte nuit, en deux heures de sommeil, mon corps avait rajeuni de quinze ans. Qu'ajouter ? Tous les miroirs, toutes les balances diraient la même vérité. Il n'y avait rien derrière la vérité. En ce qui me concernait, elle était irrecevable, incroyable, mais elle ne me faisait pas peur. Rien ne me faisait peur. J'embrassais les femmes comme j'embrassais la réalité, je m'attendais à tout.Si je vivais, c'était de m'attendre à tout. Ce qui m'arrivait était violent, non douloureux. Je me sentais même très bien. Mais changé ainsi et à ce point, à six heures du matin, dans ma salle de bains, je devenais dangereux pour la raison des autres. Ma femme et ma fille ne méritaient pas ça. |
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