Título : |
Haut lieu : roman |
Tipo de documento : |
texto impreso |
Autores : |
Sylvie Doizelet (1959-....), Autor |
Editorial : |
Paris : Gallimard |
Fecha de publicación : |
1994 |
Número de páginas : |
125 p. |
Il. : |
couv. ill. en coul. |
Dimensiones : |
21 cm |
ISBN/ISSN/DL : |
978-2-07-073412-2 |
Idioma : |
Francés (fre) |
Clasificación: |
843 Fiction |
Resumen : |
«Lower s'imagine que je suis une simulatrice. J'étais arrivée au bout de mes possibilités : j'avais perdu mon pouvoir sur les hommes et mes derniers amants ne restaient que parce que j'étais célèbre. J'avais écrit tous mes livres et je n'avais plus rien à dire. Plutôt que d'accepter tout cela, j'ai trouvé une porte de sortie.J'ai pris le rôle de l'originale, de la décadente. Je suis la grande attraction de la Maison. On traverse tout le pays pour venir ici et, au bout d'une demi-heure, on repart, satisfait.Mais vous, Rendall, je ne vous laisserai pas repartir. Tous les jours, vous viendrez me tenir compagnie. Sachez que si un après-midi je vous attends en vain, mon cœur n'y résistera pas. Vous aurez la mort de Lady Louisa sur la conscience, et c'est bien plus que vous ne pourriez supporter.» |
Sous niveau : |
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Haut lieu : roman [texto impreso] / Sylvie Doizelet (1959-....), Autor . - Paris : Gallimard, 1994 . - 125 p. : couv. ill. en coul. ; 21 cm. ISBN : 978-2-07-073412-2 Idioma : Francés ( fre)
Clasificación: |
843 Fiction |
Resumen : |
«Lower s'imagine que je suis une simulatrice. J'étais arrivée au bout de mes possibilités : j'avais perdu mon pouvoir sur les hommes et mes derniers amants ne restaient que parce que j'étais célèbre. J'avais écrit tous mes livres et je n'avais plus rien à dire. Plutôt que d'accepter tout cela, j'ai trouvé une porte de sortie.J'ai pris le rôle de l'originale, de la décadente. Je suis la grande attraction de la Maison. On traverse tout le pays pour venir ici et, au bout d'une demi-heure, on repart, satisfait.Mais vous, Rendall, je ne vous laisserai pas repartir. Tous les jours, vous viendrez me tenir compagnie. Sachez que si un après-midi je vous attends en vain, mon cœur n'y résistera pas. Vous aurez la mort de Lady Louisa sur la conscience, et c'est bien plus que vous ne pourriez supporter.» |
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