Título de serie : |
Festival des Festivals |
Título : |
Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés |
Tipo de documento : |
documento proyectable o vídeo |
Autores : |
Marc-Antoine Roudil, Realizador de la película. ; Sophie Bruneau, Autor |
Fecha de publicación : |
2005 |
Número de páginas : |
1 DVD (80 min) toutes zones |
Il. : |
Version française, sous-titrée en ang, esp. |
Nota general : |
Production : ADR productions, Alter Ego Films |
Idioma : |
Francés (fre) |
Clasificación: |
070 Media, journalisme, édition |
Resumen : |
Chaque semaine, dans trois hôpitaux publics de la région parisienne, une psychologue et deux médecins reçoivent des hommes et des femmes malades de leur travail. Tour à tour, quatre personnes racontent leur souffrance au travail dans le cadre d’un entretien unique. Les trois professionnels écoutent et établissent peu à peu la relation entre la souffrance individuelle du patient et les nouvelles formes d’organisation du travail.
À travers l’intimité, l’intensité et la vérité de tous ces drames ordinaires, le film témoigne de la banalisation du mal dans le monde du travail.
Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés est un huis clos cinématographique où prend corps et sens une réalité invisible et silencieuse : la souffrance au travail. |
Nota de contenido : |
"Documentaire" |
Festival des Festivals. Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés [documento proyectable o vídeo] / Marc-Antoine Roudil, Realizador de la película. ; Sophie Bruneau, Autor . - 2005 . - 1 DVD (80 min) toutes zones : Version française, sous-titrée en ang, esp. Production : ADR productions, Alter Ego Films Idioma : Francés ( fre)
Clasificación: |
070 Media, journalisme, édition |
Resumen : |
Chaque semaine, dans trois hôpitaux publics de la région parisienne, une psychologue et deux médecins reçoivent des hommes et des femmes malades de leur travail. Tour à tour, quatre personnes racontent leur souffrance au travail dans le cadre d’un entretien unique. Les trois professionnels écoutent et établissent peu à peu la relation entre la souffrance individuelle du patient et les nouvelles formes d’organisation du travail.
À travers l’intimité, l’intensité et la vérité de tous ces drames ordinaires, le film témoigne de la banalisation du mal dans le monde du travail.
Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés est un huis clos cinématographique où prend corps et sens une réalité invisible et silencieuse : la souffrance au travail. |
Nota de contenido : |
"Documentaire" |
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