Título : |
Dites à mes amis que je suis mort |
Otros títulos : |
Dile a mis amigos que estoy muerto |
Tipo de documento : |
documento proyectable o vídeo |
Autores : |
Nino Kirtadzé, Realizador de la película. |
Fecha de publicación : |
2003 |
Número de páginas : |
1 video disco (DVD) (90 min) digital, sonoro, color |
Dimensiones : |
12 cm |
Nota general : |
Sous titres: Anglais, Espagnol, Français
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Idioma : |
Serbo-croata (Latín) (scr) |
Palabras clave : |
Drame |
Clasificación: |
791.43 Cinéma |
Resumen : |
Une voiture fait irruption dans le salon d’une maison avant d’être recouverte d’un voile noir : les morts - et leurs objets - font partie de la vie quotidienne. Alors on se met à boire et puis on rit, on mange, on pleure... beaucoup...
La famille du défunt n’est jamais seule : les proches sont là, la radio, la télé et quand commence la cérémonie des condoléances, tout s’entremêle, l’au-delà de la mort est confondu, le réel se métamorphose : joie de vivre et mystère de la mort, inséparables, comme si la vie célébrait sa victoire sur la mort. Tout cela sous le regard d’une femme, Nino... |
Dites à mes amis que je suis mort = Dile a mis amigos que estoy muerto [documento proyectable o vídeo] / Nino Kirtadzé, Realizador de la película. . - 2003 . - 1 video disco (DVD) (90 min) digital, sonoro, color ; 12 cm. Sous titres: Anglais, Espagnol, Français
Idioma : Serbo-croata (Latín) ( scr)
Palabras clave : |
Drame |
Clasificación: |
791.43 Cinéma |
Resumen : |
Une voiture fait irruption dans le salon d’une maison avant d’être recouverte d’un voile noir : les morts - et leurs objets - font partie de la vie quotidienne. Alors on se met à boire et puis on rit, on mange, on pleure... beaucoup...
La famille du défunt n’est jamais seule : les proches sont là, la radio, la télé et quand commence la cérémonie des condoléances, tout s’entremêle, l’au-delà de la mort est confondu, le réel se métamorphose : joie de vivre et mystère de la mort, inséparables, comme si la vie célébrait sa victoire sur la mort. Tout cela sous le regard d’une femme, Nino... |
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